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Le Déchaîné - La Gazette de CCDH
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vendredi 13 février 2015
La Ritaline : danger de mort !
Le Dr Patrick Landman, psychiatre et psychanalyste a été interviewé par Le Figaro sur le « Trouble de déficit de l'attention avec hyperactivité ». Il déclare ceci : « Il n 'existe pas scientifiquement : rien n'a été découvert, ni en génétique, ni en biochimie, ni en imagerie. », puis il dit : « Une étude américaine a montré que l'une des causes des troubles de l'attention est le temps passé devant les écrans ; un enfant peut être étiqueté TDAH alors que des mesures éducatives pourraient suffire. ».
Il rajoute que : « Le méthylphénidate (nom générique de la Ritaline) ne
doit pas être un opium utilisé pour cacher les problèmes sociaux ! Il
existe aussi des enfants originaux qui sont nuls en classe car le
système ne leur est pas adapté, des enfants à haut potentiel qui
s'ennuient... Les seuils de tolérance baissent. Mais moi, je suis là
pour soigner. Pas pour normaliser. »
En France, les prescriptions de Ritaline ne cessent d'augmenter (+ 70 %
en 5 ans). Alors qu'il s'agit d'un psychostimulant (appartenant à la
catégorie des stupéfiants) proche de la cocaïne, elle est prescrite à
des milliers d'enfants français soi-disant « hyperactifs ».
De plus, le méthylphénidate est classé par l'Agence américaine de
réglementation des drogues dans la catégorie des narcotiques les plus
dangereux, au même titre que la morphine, l'opium et la cocaïne.
Les effets secondaires de la Ritaline sont : dépression, agressivité,
hallucinations, insomnie, comportements violents, tension artérielle et
modification du rythme cardiaque, idées suicidaires, etc.
Alors pourquoi y-a-t-il une surconsommation de Ritaline en France ? Une
chose est sure, elle rapporte gros aux laboratoires pharmaceutiques et
aux psychiatres.
Les enfants hyperactifs ou plutôt les enfants turbulents ont toujours
existé, à la seule différence que les psychiatres les considèrent
aujourd'hui comme malades et ce, sans aucun fondement scientifique.
En tant qu'association, parent ou simple citoyen, notre devoir est
d'informer notre entourage afin que ces abus cessent si nous ne voulons
pas que nos enfants soient victimes des effets dévastateurs de cette
drogue qui peut les amener à se tuer !
Afin de dénoncer le danger de la Ritaline et sa surprescription en
France, la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme organise
une distribution de prospectus le vendredi 13 février de 16h à 17h dans
la rue Lenepveu et sur la Place du Ralliement à Angers !
Pour plus d'informations sur la CCDH, visitez le site : www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
jeudi 05 février 2015
Son internement en psychiatrie l'a rendu fou !
Un homme de 45 ans interné dans un hôpital psychiatrique, le centre hospitalier interdépartemental de Clermont, depuis 2004 s'est évadé le vendredi 30 janvier lors d'une permission de deux heures qui lui était accordée. Il a rencontré un sexagénaire et l'a tué avec un couteau. Il s'est rendu à la police vers 18h.
Le directeur de l'établissement a indiqué que l'homme était interné à
cause de troubles psychiatriques liés à une enfance douloureuse.
Il était interné en hôpital psychiatrique depuis plus de dix ans, il a
certainement été victime d'abus tels que : internement de force,
camisole de force, contentions, chambre d'isolement, électrochocs,
injections de médicaments, etc.
Sans parler des effets secondaires des drogues psychiatriques qui sont
dévastateurs : convulsions, troubles cardiaques, troubles respiratoires,
troubles sexuels, amnésie, coma, agressivité, nervosité, anxiété,
délires, psychoses, hallucinations, pensées et comportements
suicidaires, etc.
Ce n'est donc pas étonnant qu'un grand nombre de crimes et de suicides
soient commis par des personnes sous l'emprise de drogues psychiatriques.
Nous pouvons nous interroger sur les véritables intentions des
psychiatres et des laboratoires pharmaceutiques lorsque l'on voit ce que
les psychotropes peuvent créer.
Malgré cela, l'industrie pharmaceutique continue de produire de nouveaux
médicaments et récolte des milliards d'euros !
Nous devons informer les Français, les plus gros consommateurs de
psychotropes en Europe, du danger de la psychiatrie et de ses
traitements.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme organise donc
une distribution de prospectus le vendredi 6 février de 16h à 17h dans
la rue Lenepveu et sur la Place du Ralliement à Angers, pour dénoncer
les abus en hôpitaux psychiatriques !
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
vendredi 30 janvier 2015
Drogues psychiatriques : risques de démence ou de mort !
D'après Psychomédia, une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) Internal Medicine, plusieurs médicaments couramment utilisés seraient liés à un risque accru de démence, dont la maladie d'Alzheimer.
Ces médicaments incluent notamment des médicaments utilisés pour le
traitement de l'anxiété et de la dépression ainsi que des médicaments en
vente libre contre les allergies et l'insomnie.
Les médicaments psychiatriques peuvent être responsables d'effets
indésirables tels que : prise de poids, allergies, vertige, insomnie,
convulsions, troubles cardiaques, troubles respiratoires, troubles
sexuels, amnésie, coma, agressivité, nervosité, anxiété, délires,
psychoses, hallucinations, pensées et comportements suicidaires, etc.
En outre, les faits divers montrent qu'un grand nombre de crimes et de
suicides sont commis par des personnes sous l'emprise de drogues
psychiatriques.
Chaque année en France, de nombreux abus sont commis en service
psychiatrique tels que : internement illégal ou arbitraire, traitement
imposé sans consentement, diagnostic erroné, administration
d'électrochocs ou sismothérapie sans consentement, abus sexuels,
pression sur la famille pour faire traiter un enfant, contentions,
chambre d'isolement, décès, etc.
Malgré cela, 20 millions de personnes, soit 1/3 des français, ont déjà
pris un médicament psychotrope dans leur vie.
Une chose est sure, les laboratoires pharmaceutiques ont tout intérêt à
continuer de fabriquer et de vendre en grand nombre les psychotropes
administrés par les psychiatres et les docteurs car ces « médicaments »,
qui sont remboursés par la sécurité sociale, leur rapportent des
milliards chaque année !
Nous devons dénoncer cette industrie très lucrative car elle coûte la
vie à bon nombre de français chaque année et c'est inadmissible !
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme a donc organisé
une distribution de prospectus le vendredi 30 janvier de 16h à 17h dans
la rue Lenepveu et sur la Place du Ralliement à Angers, pour dénoncer la
dangerosité des drogues psychiatriques !
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
samedi 24 janvier 2015
Le preneur d'otages de Colombes était suivi en psychiatrie !
Une prise d'otage a eu lieu le vendredi 16 janvier à Colombes (Hauts-de-Seine), entre 12h30 et 14h30. Heureusement aucun mort ni blessé n'est à déplorer. L'homme avait lui même appelé les forces de l'ordre en clamant être lourdement armé de grenades et kalachnikov.
La piste terroriste a été rapidement écartée, ce serait une déception
amoureuse qui serait à l'origine de ce geste. D'après les journaux
l'homme aurait des antécédents psychiatriques.
Nous ignorons si ce dernier avait été interné en hôpital psychiatrique
mais il était suivi.
Cela expliquerait son geste (mais ne l'excuserait pas pour autant), car
les « médicaments psychiatriques » administrés en France et dans tous
autres pays sont extrêmement dévastateurs. Les français sont les plus
gros consommateurs de drogues psychiatriques en Europe, (20 millions de
français, soit 1/3 ont déjà pris un psychotrope dans leur vie).
Ces dernières années de nombreux professionnels de la santé, tel que le
Professeur Philippe Even par exemple, ont remis en cause de nombreux
psychotropes comme le Prozac prescrit dès l'âge de 8 ans ou la Ritaline
à partir de 6 ans, etc.
Ces drogues psychiatriques peuvent amener toute personne à se comporter
de façon très étrange et surtout dangereuse. Par exemple, une personne
peut être victime de convulsions, de troubles cardiaques ou
respiratoires ou encore avoir des hallucinations, des troubles sexuels,
des psychoses, des névroses, de l'anxiété, des délires ou même devenir
très violente ou agressive et avoir des pensées suicidaires. Et la liste
ne s'arrête pas là. Tous ces effets secondaires sont décrits dans le
dictionnaire Vidal et même sur les notices des médicaments.
C'est pour cela que la CCDH informe chaque semaine la population.
L'association a été créé en 1974 en France pour dénoncer les abus
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme de l'Homme
organise une distribution de prospectus le mardi 27 janvier de 14h30 à
15h30 dans la rue Plantagenêt près du centre commercial Fleur d'eau,
pour dénoncer la dangerosité des drogues psychiatriques !
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
samedi 17 janvier 2015
Meurtre fratricide : drogues psychiatriques en cause ?
Dans la nuit du samedi 3 au dimanche 4 janvier dans la ville de Passy un homme âgé de 44 ans, surveillant de l’Éducation nationale, a été arrêté après avoir assassiné son frère de 39 ans. Pris d'une soudaine bouffée de violence il serait entré dans sa chambre et lui aurait fracassé le crâne à coups d'haltère.
Le coupable qui a été mis en examen pour meurtre est connu pour son
comportement instable et avait déjà fait quelques séjours à l'hôpital
psychiatrique.
Voilà donc une personne de plus décédée à cause d'un ancien patient de
la psychiatrie et des traitements qu'il devait prendre. Combien d'autres
personnes allons-nous encore laisser se faire assassiner avant de réagir
et de réaliser que les « médicaments » psychiatriques sont dangereux ?
En effet, les psychotropes peuvent provoquer des effets secondaires tels
que : agitation, convulsions, troubles cardiaques, troubles
respiratoires, troubles sexuels, amnésie, coma, agressivité, nervosité,
anxiété, délires, psychoses, hallucinations, pensées et comportements
suicidaires, etc.
Certains laboratoires tel que Lilly par exemple ont déjà été condamnés
pour les méfaits des drogues psychiatriques qu'ils mettent sur le
marché. Mais en réalité, l'industrie pharmaceutique gagne tellement
d'argent (plusieurs milliards), sur ces « médicaments » qu'ils
continuent à sortir des traitements dévastateurs. C'est un marché très
lucratif donc rien ne les arrête.
De plus dans les hôpitaux psychiatriques français, il y a chaque année,
72 000 internements forcés (200 par jour) et 70 000 séances
d'électrochocs ou sismothérapie. Les traitements barbares existent
toujours et il y en a beaucoup !
Notre devoir est donc d'informer la population de ces abus et barbaries !
C'est pourquoi la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme
organise une distribution de prospectus le mardi 20 janvier de 14h30 à
15h30 dans la rue Lenepveu et sur la place du Ralliement à Angers, pour
dénoncer les abus de la psychiatrie et leurs traitements dévastateurs !
La CCDH a été créée en 1974 en France pour dénoncer les abus
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
samedi 10 janvier 2015
Drogues psychiatriques : danger de mort !
Mardi dernier sur France 5 à 20h40, un reportage nommé « Morts sur ordonnance » a été diffusé. Dans ce reportage, les antidépresseurs, anxiolytiques, somnifères et autres tranquillisants sont remis en question.
De nombreux experts tel que le Professeur Philippe Even parlent de
« bombes à retardement ». Ces psychotropes seraient à l'origine de
vagues de suicides, de troubles du comportements graves, d'homicides et
certains seraient plus addictifs que les drogues dures. Plusieurs
victimes et familles de victimes des psychotropes témoignent dans ce
reportage des méfaits des drogues psychiatriques.
Les faits divers montrent effectivement qu'un grand nombre de crimes et
de suicides sont commis par des personnes sous l'emprise de drogues
psychiatriques.
Pourtant ces médicaments restent un best-seller planétaire et, en tant
que premier consommateur mondial, la France représente un véritable
tiroir-caisse. Effectivement, un français sur 3, soit 20 millions de
personnes, ont déjà pris un médicament psychotrope dans leur vie.
Des milliers de citoyens sont internés de manière abusive en
psychiatrie. De plus des traitements barbares sont pratiqués de force
dans les hôpitaux psychiatriques français : camisole de force,
contentions, chambre d'isolement, électrochocs, injections de
médicaments, etc.
Les français, pour beaucoup, sont convaincus aujourd'hui que de tels
barbaries ne sont plus au goût du jour dans les hôpitaux psychiatriques,
or cela existe encore et de manière très fréquente !
Nous devons donc agir pour que ces abus cessent. Les psychiatres et les
laboratoires pharmaceutiques doivent reconnaître leur tort et arrêter de
mettre sur le marché des médicaments psychiatriques qui détruisent la
vie des gens !
C'est pourquoi les membres de la Commission des Citoyens pour les
Droits de l'Homme de l'Homme organisent une distribution de prospectus
le mardi 13 janvier de 14h30 à 15h30 dans la rue Lenepveu et sur la
place du Ralliement à Angers, pour dénoncer les traitements barbares de
la psychiatrie !
La CCDH a été créé en 1974 en France pour dénoncer les abus
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.f
samedi 03 janvier 2015
La psychiatrie engendre des actes de barbaries !
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme organise une distribution de prospectus le mardi 6 janvier de 14h30 à 15h30 dans la rue Lenepveu et sur la place du Ralliement à Angers, afin de dénoncer les abus de la psychiatrie qui détruisent notre société !
Un homme a été interpellé vers 10 heures le jeudi 1er janvier, après
avoir projeté deux parpaings dans les portes de verre de la mosquée de
Créteil. Ce trentenaire a été placé en garde à vue puis hospitalisé
d'office, hier soir. C'est un patient régulier de l'hôpital
psychiatrique des Murets.
En France et partout ailleurs, nous entendons régulièrement parler de
violences, de meurtres ou de suicides commis par des patients
psychiatriques, en revanche, nous n'entendons jamais parler de personnes
sauvées par la psychiatrie. Serait-ce parce qu'il n'y n'a pas de
résultat ? C'est possible !
Dans les hôpitaux psychiatriques, de nos jours, des traitements barbares
sont encore largement pratiqués. Nous pouvons recevoir des électrochocs
ou sismothérapie ou des injections de médicaments. Nous pouvons aussi
subir une camisole de force, des contentions ou encore se retrouver en
chambre d'isolement.
De plus, les psychotropes administrés régulièrement en hôpital
psychiatrique peuvent être la cause de nombreux problèmes ou effets
secondaires dévastateurs tels que : amnésie, coma, troubles sexuels,
agressivité, nervosité, anxiété, délires, psychoses, hallucinations,
pensées et comportements suicidaires, etc. La liste est très longue.
Lorsque l'on regarde certaines statistiques, c'est alarmant ! Par
exemple, le nombre de séances d'électrochocs données chaque année
atteint les 70 000 ! Et 20 millions de français, soit 1/3 de la
population ont déjà pris un médicament psychotrope dans leur vie.
D'après le rapport des professeurs Bégaud et Costagliola, le mésusage de
médicaments en France coûte plus de 10 milliards d’euros par an. Alors à
quoi bon donner autant de médicaments qui coûtent très chers à la
sécurité sociale ? Il se trouve que c'est un marché très lucratif pour
les laboratoires pharmaceutiques.
Nous devons donc informer la société de ces abus commis par la
psychiatrie !
La CCDH existe depuis plus de 40 ans en France pour dénoncer les abus
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
samedi 27 décembre 2014
Les drogues psychiatriques poussent à la folie !
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme organise une distribution de prospectus le mardi 30 décembre de 14h30 à 15h30 dans la rue Lenepveu et sur la place du Ralliement à Angers, afin de dénoncer les traitements dévastateurs de la psychiatrie, responsables de nombreux drames !
Le dimanche 21 décembre 2014, un homme a foncé en voiture sur des
passants à Dijon, blessant treize personnes. L'enquête a révélé que le
conducteur avait fait 157 passages en unité psychiatrique entre février
2001 et novembre 2014. Cet homme prend un certain nombre de médicaments.
Il y a dix ans, dans la nuit du 17 au 18 décembre 2004, une infirmière
et une aide-soignante avaient été assassinées dans les locaux de
l'hôpital psychiatrique de Pau par un ancien patient qui avait été
interné à trois reprises dans ce service et qui voulait "se venger". La
première victime avait été décapitée et la deuxième égorgée.
Ces deux drames ne sont hélas pas les seules horreurs commises par des
patients psychiatriques dont nous avons entendu parler ces dernières
années. Il y a de nombreux autres exemples de violence, de tuerie ou de
suicide !
Ces actes dramatiques ne peuvent que nous interroger, pourquoi cela
arrive-t-il? Pourquoi autant de violence et d'inhumanité ? Eh bien, il
est important de connaître un fait pour répondre à cela : les
psychotropes ou médicaments psychiatriques ont de nombreux effets
secondaires très dangereux tels que : amnésie, coma, troubles sexuels,
agressivité, nervosité, anxiété, délires, psychoses, hallucinations,
pensées et comportements suicidaires, etc. La liste est très longue.
Lorsqu’une personne a fait 157 allers-retours en psychiatrie en 13 ans,
comme le conducteur à Dijon, il est démontré que les psychiatres
n'obtiennent pas de résultat, et qu’au lieu de guérir leurs patients,
ils les rendent plus fous avec des traitements dévastateurs ! La
personne devient incontrôlable, elle tuerait ses plus proches amis ou
même sa famille !
Malgré leurs méfaits, les psychotropes sont énormément utilisés en
France. 20 millions de personnes, soit 1/3 de la population française,
ont déjà pris un tel médicament dans leur vie. C’est un marché tellement
lucratif pour les laboratoires pharmaceutiques, alors pourquoi arrêter
la mise sur le marché de ces "médicaments" ?
En tant qu’association luttant pour le respect des droits de l’Homme en
psychiatrie, notre devoir est d'informer et d'alerter la France entière
! Chacun d'entre nous a le droit de connaître les effets indésirables et
dangereux de ces psychotropes avant de se voir prescrire de tels
traitements.
La CCDH existe depuis 40 ans en France pour dénoncer les abus
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
samedi 20 décembre 2014
Drame familial à Massy : le coupable sortait d'hôpital psychiatrique !
Les membres de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme organisent une distribution de prospectus le mardi 23 décembre de 14h30 à 15h30 dans la rue Lenepveu et sur la place du Ralliement à Angers, afin de dénoncer les traitements dévastateurs et barbares de la psychiatrie !
Le mercredi 25 novembre, à Massy, un homme de 77 ans a assassiné son
fils d'une cinquantaine d'année d'un coup de pistolet avant de se tirer
une balle dans la tête. Ce dernier a été transporté à l'hôpital parisien
dans un état très critique.
Les voisins étaient sous le choc après ce drame familial. D'après les
riverains, le septuagénaire souffrait de problèmes psychiatriques depuis
plusieurs années. Il aurait été interné d'office et serait sortit fin
septembre, d'après un voisin. Il en voulait à ses fils de l'avoir placé
en soins psychiatriques.
Malheureusement ce drame ne fait que rallonger la longue liste de
tueries, de meurtres ou de suicides commis par des personnes qui sont
traitées en psychiatrie. Nous pouvons donc nous demander aujourd'hui si
les médicaments psychiatriques sont vraiment efficaces ou s'il ne s'agit
pas d'un marché lucratif pour les laboratoires pharmaceutiques et les
psychiatres ?
Il faut s'interroger sur l'efficacité des psychotropes administrés en
hôpital. Ces derniers sont très dangereux car ils peuvent être
responsables d'insomnie, d'allergies, de troubles cardiaques, de
troubles sexuels, d'anxiété, d'agressivité, de délires,
d'hallucinations, et même de pensées et comportements suicidaires.
En étant conscient de ces effets secondaires, ce n'est malheureusement
pas surprenant de constater de nombreuses agressions, tueries ou
suicides de la part d'une personne qui a reçu ce genre de traitements.
Malgré cela, le nombre d'internements sous contrainte en hôpital
psychiatrique a presque doublé en 15 ans. De plus, environ 70 000
séances d'électrochocs (sismothérapie) ont lieu chaque année en France !
Et oui de nos jours des traitements barbares comme les électrochocs sont
encore largement pratiqués. Mais ce ne sont pas les seules barbaries qui
existent, des pratiques telles que : camisole de force, contentions,
chambre d'isolement, injections de médicaments, etc sont encore très
présentes en France dans les hôpitaux psychiatriques.
Il est donc vital d'informer la société sur les dangers des psychotropes
qui en plus, coûtent très chers. En effet, la psychiatrie coûterait 107
milliards d'euros par an à la France, dont 13 milliards remboursés par
l'Assurance Maladie, selon un rapport de la Cour des Comptes.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme existe depuis 40
ans en France pour dénoncer les abus psychiatriques. Elle reçoit chaque
semaine des témoignages de victimes et de familles sur ces abus et
barbaries.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
vendredi 12 décembre 2014
Stop aux internements arbitraires en psychiatrie !
Les membres de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme organisent une distribution de prospectus le mardi 16 décembre de 14h à 15h dans la rue Lenepveu et sur la place du Ralliement à Angers, afin de dénoncer les traitements dévastateurs et barbares de la psychiatrie !
Gérard Nemessany âgé de 44 ans et père de famille réclame des indemnités
pour "privation abusive de liberté". Il a été interné quinze jours à
l'hôpital psychiatrique de Prémontré, avant que le juge de la liberté et
de la détention (JLD) de Laon ordonne une mainlevée de
l'hospitalisation. Autrement dit la sortie immédiate d'un patient qui
n'était pas malade.
Les termes précis du JLD sont : "Lors de l'audience, l'intéressé a tenu
un discours cohérent, ne présentant aucun signe de pathologie, en
parfaite concordance avec son attitude depuis son hospitalisation,
décrite comme maîtrisée et rationnelle..."
Son avocat parle d'un "internement arbitraire", l'homme s'est retrouvé
en isolement pendant trois jours et sous traitement léger
d'anxiolytique. L'histoire remonte a une dispute de voisinage qui date
du 11 avril dernier, jour où l'homme s'est retrouvé en garde à vue et
placé en mesure provisoire d'hospitalisation d'office, signée tout
d'abord par le maire puis confirmée par le représentant du préfet de
l'Aisne.
Il faut savoir qu'aujourd'hui en France, le nombre d'internements sous
contraire en hôpital psychiatrique a presque doublé en 15 ans. Mais tous
ces internements sont-ils justifiés ?
De plus, les médicaments administrés en psychiatrie peuvent être la
cause d'effets dévastateurs tels que : vertige, migraine, insomnie,
agitation, convulsions, troubles cardiaques, troubles respiratoires,
troubles sexuels, amnésie, coma, agressivité, nervosité, anxiété,
délires, psychoses, hallucinations, pensées et comportements suicidaires
et bien d'autres. (source : dictionnaire Vidal).
Malgré cela, les Français sont les plus gros consommateurs de drogues
psychiatriques en Europe. 20 millions de personnes, soit 1/3 de la
population française, ont déjà pris un médicament psychotrope dans leur
vie.
Il est donc vital d'informer la société sur les dangers des psychotropes
qui en plus, coûtent très chers. En effet, la psychiatrie coûterait 107
milliards d'euros par an à la France, dont 13 milliards remboursés par
l'Assurance Maladie, selon un rapport de la Cour des Comptes.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme existe depuis 40
ans en France pour dénoncer les abus psychiatriques. Elle reçoit chaque
semaine des témoignages de victimes et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
samedi 06 décembre 2014
Un patient psychiatrique laisse un homme entre la vie et la mort !
Le nombre de crimes commis par des patients psychiatriques ne cesse d'augmenter, c'est pourquoi les membres de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme organisent une distribution de prospectus le mardi 9 décembre de 15h à 16h dans la rue Lenepveu à Angers, afin de dénoncer les traitements dévastateurs et barbares de la psychiatrie !
Mercredi dernier vers 21h30 à Toulouse, un automobiliste arrêté à un feu
rouge s'est fait très violemment agressé par un homme armé de plusieurs
couteaux.
Arrêtés derrière la victime, dans leur voiture, un homme et une femme
ont assisté à la scène. Le conducteur est rapidement sorti pour aider la
victime et s'est rendu au coffre de sa voiture afin de prendre son cric.
Pendant ce temps l'agresseur a menacé la femme du côté passager, avant
que le conducteur ne parvienne à le maîtriser.
La police prévenue rapidement, a procédé à son interpellation et a porté
secours à la première victime qui avait fait plusieurs pas en dehors de
sa voiture et s'était écroulée dans une mare de sang. L'agresseur avait
un parcours judiciaire déjà chargé et il venait de sortir en début de
semaine de l'hôpital psychiatrique Gérard-Marchant.
Ce que les psychiatres ne nous disent pas, c'est que les traitements
administrés en hôpital psychiatrique ou à domicile peuvent être la cause
d'effets dévastateurs tels que : prise de poids, allergies, vertige,
migraine, insomnie, agitation, convulsions, troubles cardiaques,
troubles respiratoires, troubles sexuels, amnésie, coma, agressivité,
nervosité, anxiété, délires, psychoses, hallucinations, pensées et
comportements suicidaires, etc (source : dictionnaire Vidal).
Dans les hôpitaux psychiatriques de nos jours, les psychiatres
pratiquent de force des traitements inhumains et barbares comme : la
mise sous contention, la camisole de force, les électrochocs ou
sismothérapie, les chambres d'isolement, les injections de médicaments,
etc.
De plus, le nombre d'internements sous contrainte en hôpital
psychiatrique a presque doublé en 15 ans et pour quel résultat ? De
nombreux crimes et délits commis par des patients !
Il est donc vital d'informer la société sur l'inefficacité des
psychotropes et d'autant plus sur leurs effets trop souvent meurtriers !
L'association, la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme
existe depuis 40 ans en France pour dénoncer les abus psychiatriques.
Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes et de familles
sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
lundi 01 décembre 2014
La psychiatrie et le DSM : une imposture meurtrière !
Le DSM, manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, également appelé la "bible des psychiatres" a été publié pour la première fois en 1952 et répertoriait alors 60 maladies. Aujourd'hui c'est le DSM V qui est utilisé, répertoriant plus de 400 maladies mentales !
Le samedi 22 novembre, un colloque très attendu organisé par
l'association Stop-DSM, créée en 2010 par le pédopsychiatre et
psychanalyste Patrick Landman, a eu lieu dans le douzième arrondissement
de Paris.
Allen Frances, psychiatre de renom, auteur de "Sommes-nous tous des
malades mentaux ?" et directeur pendant dix ans du DSM IV, a pris la
parole lors de ce colloque et a tenu un discours de mea culpa. Il a
déclaré : "Ce qu'on a fait en 1994 est idiot. En l'absence de
découvertes scientifiques on aurait dû s'en tenir au DSM 3". Il rappelle
qu'en trente ans de recherche sur le cerveau et des milliards dépensés,
rien d'ébouriffant n'a été trouvé. Toutes ces recherches pour aucun
profit thérapeutique !
Mais alors pourquoi avoir sorti en 2013 le DSM V ? Les psychiatres se
basent sur ce Manuel pour étiqueter quiconque de "malade mental", dans
le but de prescrire de plus en plus de psychotropes. Et oui car ces
drogues psychiatriques alimentent une industrie pharmaceutique de 330
milliards de dollars et ce, sans le moindre traitement efficace !
De plus, le coût en vies humaines est extrêmement dévastateur : ces
drogues psychiatriques tuent à l'heure actuelle près de 42 000 personnes
par an et n'en guérissent aucune ! Et le bilan ne cesse d'empirer.
Le consommateur peut également être victime d'effets secondaires tels
que : des vertiges, des somnolences, des tremblements, une vue trouble
et/ou même des troubles sexuels ! Les psychotropes peuvent également
agir sur le mental avec des effets dévastateurs tels que : anxiété,
agitation, insomnie, irritabilité, hostilité, agressivité, violence,
actes de manie psychotiques purs, pensées suicidaires, etc.
C'est pourquoi, les membres de la Commission des Citoyens pour les
Droits de l'Homme organisent une distribution de prospectus le mardi 2
décembre de 15h à 16h30 dans la rue Lenepveu à Angers, afin de dénoncer
les nombreux abus de la psychiatrie !
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme est une
association existant depuis 40 ans en France pour dénoncer les abus
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
lundi 24 novembre 2014
Drogues psychiatriques : pas de guérison mais des morts !
Les membres de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme ont organisé une distribution de prospectus le samedi 22 novembre de 15h30 à 16h30 près de la foire Saint Martin d'Angers, pour dénoncer les effets dévastateurs des drogues psychiatriques !
Fin octobre à Athis-Mons dans l'Essonne, un homme se présente à un
pizzaïolo de la ville pour lui révéler qu'il vient de tuer quelqu'un. Il
demande alors au restaurateur ambulant de prévenir la police pour qu'il
puisse se rendre.
Le suspect n'oppose aucune résistance à la police et il est conduit dans
l'hôtel social de la ville, où il dit avoir tué son voisin de chambrée.
Les gendarmes trouvent effectivement un corps poignardé à plusieurs
reprises à la gorge dans la chambre voisine.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le drame aurait pour origine
une dispute anodine. L'accusé, qui est suivi pour des troubles
psychiatriques, a été placé en garde à vue.
Une fois de plus, la presse mentionne qu'un homme coupable d'un meurtre
était suivi en psychiatrie auparavant. Peu importe qu'il ait été interné
en hôpital psychiatrique ou pas, il a certainement pris des médicaments
psychiatriques et le résultat est le même : pas de guérison
mais des effets secondaires !
Il est important de connaître ces effets potentiels avant d'accepter de
tels traitements : prise de poids, allergies, vertige, migraine,
insomnie, agitation, convulsions, troubles cardiaques, troubles
respiratoires, troubles sexuels, amnésie, coma, agressivité, nervosité,
anxiété, délires, psychoses, hallucinations, pensées et comportement
suicidaires, etc.. De plus, les psychotropes peuvent entraîner une forte
dépendance !
Malgré cela, le nombre d'internements sous contrainte en hôpital
psychiatrique a presque doublé en 15 ans. De plus, des traitements
barbares sont pratiqués de force dans les hôpitaux psychiatriques
français : camisole de force, contentions, chambre d'isolement,
électrochocs ou sismothérapie (70 000 séances par an !!), injections de
médicaments, etc..
Les droits humains les plus fondamentaux sont bafoués sous couvert de
"santé mentale".
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme est une
association existant depuis 40 ans en France pour dénoncer les abus
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
lundi 17 novembre 2014
Double homicide dans le Gers : meurtrier "déséquilibré" ou psychotropes dévastateurs ?
Mercredi dernier, deux meurtres ont été commis dans un petit village du Gers. Un jeune homme a tué deux personnalités locales : l'ancien maire de Cazaux-Savès âgé de 99 ans qui a volontairement été renversé, puis la vicomtesse Michèle de Castelbajac, mortellement frappée. L'assassin a été interpellé au château de Caumont, où résidait la seconde victime. Elle y a été retrouvée gisant, le crâne fracassé.
L'accusé a déclaré qu'il avait agi volontairement dans les deux cas,
d'après le Procureur de la République d'Auch. Le jeune homme aurait
donné des explications délirantes sur les motifs de son geste et dit
avoir agi sous l'effet de voix qu'il entendait.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le jeune homme aurait volé une
première voiture, impliquée dans l'accident mortel, puis une seconde qui
l'a conduit jusqu'au château, sans motif apparent. Le meurtrier
avait déjà été interné en établissements psychiatriques.
Il est fort inquiétant d'observer que de nombreuses personnes soi-disant
"déséquilibrées" ou ayant des "troubles mentaux", sont internées en
hôpital psychiatrique et y ressortent encore plus folles ! Il arrive
beaucoup trop souvent que des actes criminels ou des suicides soient
commis par des personnes sous l'emprise de médicaments psychiatriques !
Les psychotropes sont sensés guérir, mais est-ce vraiment le cas ?
Tout d'abord il faut savoir que les psychotropes prescrits de nos jours
présentent de nombreux effets secondaires potentiels tels que :
problèmes cardiaques, anxiété, hallucinations, agressivité, délires,
psychoses, arrêts cardiaques, comas, morts subites, idées suicidaires,
et la liste ne s'arrête pas là !
Avec plusieurs millions de consommateurs de médicaments psychiatriques
en France, on peut facilement comprendre que la psychiatrie représente
un marché très intéressant. Cette alliance psychiatrie-laboratoire
pharmaceutique est très lucrative. Un milliard d'euros est remboursé
chaque année pour les psychotropes. C'est pourquoi il faut dénoncer les
abus de la psychiatrie afin qu'ils cessent !
Les membres de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme
organisent donc une distribution de prospectus le mardi 18 novembre de
15h30 à 16h30 dans la rue Lenepveu à Angers, pour dénoncer les effets
dévastateurs des drogues psychiatriques !
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme est une
association existant depuis 40 ans en France pour dénoncer les dérives
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
lundi 10 novembre 2014
Suicides dans la police : les anxiolytiques sont-ils responsables ?
Le Figaro indique que 46 policiers se sont donné la mort depuis le début de l'année 2014. Au cours des cinq dernières années, la moyenne des suicides dans la police nationale tournait autour de 42 par an.
D'après l'AAAVAM (L'Association d'Aide Aux Victimes des Accidents des
Médicaments), fondée en 1992, le nombre de suicides dans la police et la
gendarmerie est particulièrement élevé par rapport au nombre de suicides
dans la population en général ! Cette constatation parue dans la Presse
ces derniers jours ne tient pas compte du fait que le nombre de suicides
en France est déjà particulièrement important.
L'AAAVAM dit ceci : "À notre avis, la plupart de ces policiers et
gendarmes avaient reçu un traitement qui ne leur convenait pas. La
médecine psychiatrique aux États-Unis et au Canada précise qu'il ne faut
pas ordonner des anxiolytiques à base de benzodiazépines à des patients
suicidaires, dépressifs ou psychotiques." Et il rajoute : "Par contre
l'OPEN DATA a des limites, en effet pour les médecins et le corps
médical les psychotropes étant mis à leur disposition gracieusement par
les Laboratoires, il ne doit pas y avoir de trace dans les dossiers de
la Sécu : Le crime était presque parfait ! Seules les analyses
toxicologiques pourraient mettre en cause cette classe de psychotropes
dont les effets mortifères sont dénoncés depuis plus d'un demi siècle !"
Il est indispensable d'informer la société concernant les effets
dévastateurs des psychotropes qui peuvent être responsables
d'agressivités, d'hallucinations, d'anxiété, de morts subites, d'arrêts
cardiaques, de comas, d'idées suicidaires, etc. C'est écrit noir sur
blanc sur les notices des médicaments psychiatriques.
C'est pourquoi, les membres de la Commission des Citoyens pour les
Droits de l'Homme organisent une distribution de prospectus le mardi 11
novembre 2014 de 15h à 16h dans la rue Lenepveu à Angers, pour dénoncer
les graves effets secondaires que présentent les drogues psychiatriques,
poussant les patients aux actes criminels.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme est une
association existant depuis 40 ans en France pour dénoncer les dérives
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
vendredi 31 octobre 2014
Les psychotropes peuvent nous rendre fous !
Lundi 20 Octobre 2014, à Villenave-Ornon, un homme de 53 ans a étranglé sa mère. Il a donc été mis en examen pour homicide volontaire sur ascendant et placé en détention à la maison d'arrêt de Gradignan.
Le meurtrier présumé qui a tué sa maman de 74 ans, avec une ceinture de
peignoire, a de lourds antécédents psychiatriques. Il était sous
curatelle, prenait beaucoup de médicaments et a effectué par le passé de
nombreux séjours en hôpital psychiatrique.
Dans la presse aujourd'hui, nous pouvons constater de nombreux cas
similaires ou pire encore, de tueries commis par des personnes ayant été
ou étant encore suivis en psychiatrie. Ces personnes sont généralement
sous traitements lourds et dangereux, tels que les psychotropes, la
sismothérapie (ou électrochocs); dans des conditions inhumaines telles
que l'internement de force, la contention, la cellule d'isolement...etc
Les psychiatres omettent de dire à leurs patients que ce sont les
psychotropes aux effets dévastateurs qui peuvent être responsables
d'agressivités, d'hallucinations, d'anxiété, de morts subites, d'arrêts
cardiaques, de comas, d'idées suicidaires, etc. C'est écrit noir sur
blanc sur les notices des médicaments psychiatriques.
Il est donc vital d'informer nos semblables sur ces effets puissants et
très dangereux que peuvent entraîner les psychotropes. Les psychiatres
devraient s'assurer que tous les patients connaissent les effets
indésirables de tous traitements qu'ils souhaiteraient prendre, afin de
le faire en toute connaissance de cause.
C'est pourquoi, les membres de la Commission des Citoyens pour les
Droits de l'Homme organisent une distribution de prospectus le mardi 4
novembre 2014 de 18h30 à 20h au Parc des Expos d'Angers, pour dénoncer
les graves effets secondaires que présentent les drogues psychiatriques,
poussant les patients aux actes criminels.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme est une
association existant depuis 40 ans en France pour dénoncer les dérives
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
vendredi 24 octobre 2014
Les psychotropes sont-ils vraiment efficaces ?
Un quadragénaire qui logeait dans une chambre d'hôtel situé près de la gare de Poitiers depuis quinze jours a refusé de rendre sa chambre en indiquant qu'il était armé.
Les forces de l'ordre ont dû boucler le quartier de la gare pendant
l'après-midi du jeudi et ont ensuite interpellé l'homme sans violence
avant de l'amener au commissariat où il a été placé en garde à vue.
Selon le parquet de Poitiers, l'homme aurait des antécédents
psychiatriques.
Aujourd'hui, les faits divers montrent qu'un grand nombre de crimes et
suicides sont commis par des personnes sous l'emprise de drogues
psychiatriques.
Alors il faut se poser cette question : ces traitements qui peuvent
entraîner une forte dépendance, sont-ils réellement une solution ?
Il est important de connaître les graves effets secondaires que peuvent
entraîner les psychotropes : prise de poids, allergies, vertige,
migraine, insomnie, agitation, convulsions, troubles cardiaques,
troubles respiratoires, troubles sexuels, amnésie, coma, agressivité,
nervosité, anxiété, délires, psychoses, hallucinations, pensées et
comportements suicidaires, etc.
Malgré cela, les français sont les plus gros consommateurs de drogues
psychiatriques eu Europe. Le nombre d'internements sous contrainte en
hôpital psychiatrique a presque doublé en 15 ans. Environ 70 000 séances
d'éléctrochocs (sismothérapie) ont lieu chaque année en France.
Les membres de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme
organisent donc une distribution de prospectus le mardi 28 octobre 2014
de 16h à 17h rue Lenepveu à Angers, pour dénoncer les graves effets
secondaires que présentent les drogues psychiatriques, poussant les
patients aux crimes et délits.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme est une
association existant depuis 40 ans en France pour dénoncer les dérives
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
jeudi 16 octobre 2014
Un patient psychiatrique agresse sa maman et se fait tuer !
Samedi 11 octobre au soir, cinq policiers sont intervenus au domicile d'un lyonnais. Ce sont ses voisins qui ont donné l'alerte, réveillés par des cris et des appels au secours.
Alors que les forces de l'ordre se voient refuser l'entrée de
l'appartement du rez-de-chaussée, ils font alors le tour du bâtiment
pour voir ce qui se passe à l'intérieur lorsqu'ils aperçoivent un homme
en train de frapper une femme âgée, qui se trouve être sa maman. La
police brise alors la vitre et tente de maîtriser le forcené, suivi pour
des "troubles psychiatriques", mais en vain. Un fonctionnaire de police
lui tire dessus et l'agresseur décède sur place. La maman de ce dernier,
étant sérieusement blessée, est transportée à l'hôpital, mais ses jours
ne sont pas en danger.
L'agresseur était suivi en psychiatrie et a donc dû recevoir des
médicaments psychiatriques.
Les faits divers montrent qu'un grand nombre de crimes et suicides
sont commis par des personnes sous l'emprise de drogues psychiatriques.
Ce n'est pas la première fois que nous sommes témoins après-coup des
effets secondaires des médicaments psychiatriques. Ces drogues peuvent
avoir des effets catastrophiques sur les consommateurs : convulsions,
troubles cardiaques et respiratoires, amnésie, coma, délires,
hallucinations, agressivité, et même causer des comportements
suicidaires !
Malgré cela, certains psychotropes continuent d'être prescrits à tout
va, hors recommandations de mise sur le marché ou sous la contrainte.
Certaines personnes se retrouvent sous l'emprise d'un cocktail de
médicaments (dont les interactions sont parfois inconnues) et souvent
même jusqu'à la fin de leurs jours. Ces faits sont d'autant plus
inquiétants que les prescriptions commencent de plus en plus tôt :
certains psychotropes peuvent être prescrits dès l'âge de 6 ans.
Les membres de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme
organisent donc une distribution de prospectus le mardi 21 octobre 2014
de 16h à 17h rue Lenepveu à Angers, pour dénoncer les graves effets
secondaires que présentent les drogues psychiatriques, poussant les
patients aux crimes et délits.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme est une
association existant depuis 40 ans en France pour dénoncer les dérives
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
vendredi 10 octobre 2014
Taux de mortalité en psychiatrie 3 à 4 fois plus élevé qu'en population générale
Une équipe française conduite par la Fédération régionale de recherche en psychiatrie et santé mentale du Nord-Pas-de-Calais, sous la direction du Dr Claire Lise Charrel, a comparé les causes de décès de plus de 4000 patients souffrant de "troubles mentaux" ayant été hospitalisés en hôpital psychiatrique à Armentières entre janvier 2004 et décembre 2007 à ceux de la population générale ; les décès ont été pris en compte jusqu'à 2011.
Cette étude a montré que le taux de mortalité est de 3 à 4 fois plus
élevé qu'en population générale et peut parfois être jusqu'à 20 fois
supérieur, chez les sujets jeunes entre 35 et 54 ans.
Pour information, le nombre d'internements sous contrainte en hôpital
psychiatrique a presque doublé en 15 ans. Environ 70.000 séances
d'éléctochocs ou sismothérapie ont lieu chaque année en
France.
Les faits divers montrent qu'un grand nombre de crimes et suicides
sont commis par des personnes sous l'emprise de drogues psychiatriques.
Les médicaments psychiatriques peuvent entraîner une forte dépendance et
de graves effets secondaires : prise de poids, allergies, vertige,
migraine, insomnie, agitation, convulsions, troubles cardiaques,
troubles respiratoires, troubles sexuels, amnésie, coma, agressivité,
nervosité, anxiété, délires, psychoses, hallucinations, pensées et
comportements suicidaires, etc.
Malgré cela, certains psychotropes continuent d'être prescrits à tout
va, hors recommandations de mise sur le marché ou sous la contrainte.
Certaines personnes se retrouvent sous l'emprise d'un cocktail de
médicaments (dont les interactions sont parfois inconnues) et souvent
même jusqu'à la fin de leurs jours. Ces faits sont d'autant plus
inquiétants que les prescriptions commencent de plus en plus tôt :
certains psychotropes peuvent être prescrits dès l'âge de 6 ans.
Les membres de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme
organisent donc une distribution de prospectus le mardi 14 octobre 2014
de 19h30 à 20h30 Place du Ralliement, à l'entrée du Grand Théâtre
d'Angers, pour dénoncer les graves effets secondaires que présentent les
drogues psychiatriques, poussant les patients à se suicider.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme est une
association existant depuis 40 ans en France pour dénoncer les dérives
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
vendredi 03 octobre 2014
Les antidépresseurs : un danger pour le cerveau !
Les membres de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme organisent une distribution de prospectus le vendredi 3 octobre 2014 de 16h à 17h rue Lenepveu à Angers, pour dénoncer les graves effets secondaires que présentent les drogues psychiatriques.
Notre société et nos activités respectives incitent parfois certaines
personnes à se tourner vers des solutions médicalisées. Les
antidépresseurs censés empêcher la déprime et le stress ont des effets
secondaires assez mal connus. Aujourd'hui, une étude a conclu que le
fait d'en prendre une fois pouvait causer des dommages irréversibles sur
le cerveau. Un constat alarmant !
L'équipe de scientifiques qui a mené ces recherches a administré un
antidépresseur, le Lexapro, en pilule à des volontaires afin d'étudier
les impacts sur le cerveau. Les chercheurs ont donc fait passer un
scanner aux patients dans le but d'observer les changements éventuels.
Il y en a effectivement eu, et ce dans un laps de temps de 3h, ce qui
s'est révélé très surprenant. Une seule dose de
médicaments contre la dépression serait donc suffisante pour modifier
l'architecture du cerveau.
Le résultat de cette étude est édifiant ! Les chercheurs n'auraient
jamais pensé que notre cerveau puisse être abîmé par la simple prise
d'un seul antidépresseur.
Tous les traitements psychiatriques ont des effets secondaires.
Médicaments ou électrochocs, voici ce qu'ils peuvent entraîner :
convulsions, agitation, violence, amnésie, coma, délires,
hallucinations, idées et comportements suicidaires, etc. Les traitements
psychiatriques peuvent enlever à la personne tout jugement et sens
moral, et la pousser à passer à l'acte. Les patients et la population
française doivent en être informés.
Malgré cela, certains psychotropes continuent d'être prescrits à tout
va, hors recommandations de mise sur le marché ou sous la contrainte.
Certaines personnes se retrouvent sous l'emprise d'un cocktail de
médicaments (dont les interactions sont parfois inconnues) et souvent
même jusqu'à la fin de leurs jours. Ces faits sont d'autant plus
inquiétants que les prescriptions commencent de plus en plus tôt :
certains psychotropes peuvent être prescrits dès l'âge de 6 ans.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme est une
association existant depuis 40 ans en France pour dénoncer les dérives
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr