vendredi 13 février 2015
La Ritaline : danger de mort !
Le Dr Patrick Landman, psychiatre et psychanalyste a été interviewé par Le Figaro sur le « Trouble de déficit de l'attention avec hyperactivité ». Il déclare ceci : « Il n 'existe pas scientifiquement : rien n'a été découvert, ni en génétique, ni en biochimie, ni en imagerie. », puis il dit : « Une étude américaine a montré que l'une des causes des troubles de l'attention est le temps passé devant les écrans ; un enfant peut être étiqueté TDAH alors que des mesures éducatives pourraient suffire. ».
Il rajoute que : « Le méthylphénidate (nom générique de la Ritaline) ne
doit pas être un opium utilisé pour cacher les problèmes sociaux ! Il
existe aussi des enfants originaux qui sont nuls en classe car le
système ne leur est pas adapté, des enfants à haut potentiel qui
s'ennuient... Les seuils de tolérance baissent. Mais moi, je suis là
pour soigner. Pas pour normaliser. »
En France, les prescriptions de Ritaline ne cessent d'augmenter (+ 70 %
en 5 ans). Alors qu'il s'agit d'un psychostimulant (appartenant à la
catégorie des stupéfiants) proche de la cocaïne, elle est prescrite à
des milliers d'enfants français soi-disant « hyperactifs ».
De plus, le méthylphénidate est classé par l'Agence américaine de
réglementation des drogues dans la catégorie des narcotiques les plus
dangereux, au même titre que la morphine, l'opium et la cocaïne.
Les effets secondaires de la Ritaline sont : dépression, agressivité,
hallucinations, insomnie, comportements violents, tension artérielle et
modification du rythme cardiaque, idées suicidaires, etc.
Alors pourquoi y-a-t-il une surconsommation de Ritaline en France ? Une
chose est sure, elle rapporte gros aux laboratoires pharmaceutiques et
aux psychiatres.
Les enfants hyperactifs ou plutôt les enfants turbulents ont toujours
existé, à la seule différence que les psychiatres les considèrent
aujourd'hui comme malades et ce, sans aucun fondement scientifique.
En tant qu'association, parent ou simple citoyen, notre devoir est
d'informer notre entourage afin que ces abus cessent si nous ne voulons
pas que nos enfants soient victimes des effets dévastateurs de cette
drogue qui peut les amener à se tuer !
Afin de dénoncer le danger de la Ritaline et sa surprescription en
France, la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme organise
une distribution de prospectus le vendredi 13 février de 16h à 17h dans
la rue Lenepveu et sur la Place du Ralliement à Angers !
Pour plus d'informations sur la CCDH, visitez le site : www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
jeudi 05 février 2015
Son internement en psychiatrie l'a rendu fou !
Un homme de 45 ans interné dans un hôpital psychiatrique, le centre hospitalier interdépartemental de Clermont, depuis 2004 s'est évadé le vendredi 30 janvier lors d'une permission de deux heures qui lui était accordée. Il a rencontré un sexagénaire et l'a tué avec un couteau. Il s'est rendu à la police vers 18h.
Le directeur de l'établissement a indiqué que l'homme était interné à
cause de troubles psychiatriques liés à une enfance douloureuse.
Il était interné en hôpital psychiatrique depuis plus de dix ans, il a
certainement été victime d'abus tels que : internement de force,
camisole de force, contentions, chambre d'isolement, électrochocs,
injections de médicaments, etc.
Sans parler des effets secondaires des drogues psychiatriques qui sont
dévastateurs : convulsions, troubles cardiaques, troubles respiratoires,
troubles sexuels, amnésie, coma, agressivité, nervosité, anxiété,
délires, psychoses, hallucinations, pensées et comportements
suicidaires, etc.
Ce n'est donc pas étonnant qu'un grand nombre de crimes et de suicides
soient commis par des personnes sous l'emprise de drogues psychiatriques.
Nous pouvons nous interroger sur les véritables intentions des
psychiatres et des laboratoires pharmaceutiques lorsque l'on voit ce que
les psychotropes peuvent créer.
Malgré cela, l'industrie pharmaceutique continue de produire de nouveaux
médicaments et récolte des milliards d'euros !
Nous devons informer les Français, les plus gros consommateurs de
psychotropes en Europe, du danger de la psychiatrie et de ses
traitements.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme organise donc
une distribution de prospectus le vendredi 6 février de 16h à 17h dans
la rue Lenepveu et sur la Place du Ralliement à Angers, pour dénoncer
les abus en hôpitaux psychiatriques !
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
vendredi 30 janvier 2015
Drogues psychiatriques : risques de démence ou de mort !
D'après Psychomédia, une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) Internal Medicine, plusieurs médicaments couramment utilisés seraient liés à un risque accru de démence, dont la maladie d'Alzheimer.
Ces médicaments incluent notamment des médicaments utilisés pour le
traitement de l'anxiété et de la dépression ainsi que des médicaments en
vente libre contre les allergies et l'insomnie.
Les médicaments psychiatriques peuvent être responsables d'effets
indésirables tels que : prise de poids, allergies, vertige, insomnie,
convulsions, troubles cardiaques, troubles respiratoires, troubles
sexuels, amnésie, coma, agressivité, nervosité, anxiété, délires,
psychoses, hallucinations, pensées et comportements suicidaires, etc.
En outre, les faits divers montrent qu'un grand nombre de crimes et de
suicides sont commis par des personnes sous l'emprise de drogues
psychiatriques.
Chaque année en France, de nombreux abus sont commis en service
psychiatrique tels que : internement illégal ou arbitraire, traitement
imposé sans consentement, diagnostic erroné, administration
d'électrochocs ou sismothérapie sans consentement, abus sexuels,
pression sur la famille pour faire traiter un enfant, contentions,
chambre d'isolement, décès, etc.
Malgré cela, 20 millions de personnes, soit 1/3 des français, ont déjà
pris un médicament psychotrope dans leur vie.
Une chose est sure, les laboratoires pharmaceutiques ont tout intérêt à
continuer de fabriquer et de vendre en grand nombre les psychotropes
administrés par les psychiatres et les docteurs car ces « médicaments »,
qui sont remboursés par la sécurité sociale, leur rapportent des
milliards chaque année !
Nous devons dénoncer cette industrie très lucrative car elle coûte la
vie à bon nombre de français chaque année et c'est inadmissible !
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme a donc organisé
une distribution de prospectus le vendredi 30 janvier de 16h à 17h dans
la rue Lenepveu et sur la Place du Ralliement à Angers, pour dénoncer la
dangerosité des drogues psychiatriques !
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
samedi 24 janvier 2015
Le preneur d'otages de Colombes était suivi en psychiatrie !
Une prise d'otage a eu lieu le vendredi 16 janvier à Colombes (Hauts-de-Seine), entre 12h30 et 14h30. Heureusement aucun mort ni blessé n'est à déplorer. L'homme avait lui même appelé les forces de l'ordre en clamant être lourdement armé de grenades et kalachnikov.
La piste terroriste a été rapidement écartée, ce serait une déception
amoureuse qui serait à l'origine de ce geste. D'après les journaux
l'homme aurait des antécédents psychiatriques.
Nous ignorons si ce dernier avait été interné en hôpital psychiatrique
mais il était suivi.
Cela expliquerait son geste (mais ne l'excuserait pas pour autant), car
les « médicaments psychiatriques » administrés en France et dans tous
autres pays sont extrêmement dévastateurs. Les français sont les plus
gros consommateurs de drogues psychiatriques en Europe, (20 millions de
français, soit 1/3 ont déjà pris un psychotrope dans leur vie).
Ces dernières années de nombreux professionnels de la santé, tel que le
Professeur Philippe Even par exemple, ont remis en cause de nombreux
psychotropes comme le Prozac prescrit dès l'âge de 8 ans ou la Ritaline
à partir de 6 ans, etc.
Ces drogues psychiatriques peuvent amener toute personne à se comporter
de façon très étrange et surtout dangereuse. Par exemple, une personne
peut être victime de convulsions, de troubles cardiaques ou
respiratoires ou encore avoir des hallucinations, des troubles sexuels,
des psychoses, des névroses, de l'anxiété, des délires ou même devenir
très violente ou agressive et avoir des pensées suicidaires. Et la liste
ne s'arrête pas là. Tous ces effets secondaires sont décrits dans le
dictionnaire Vidal et même sur les notices des médicaments.
C'est pour cela que la CCDH informe chaque semaine la population.
L'association a été créé en 1974 en France pour dénoncer les abus
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme de l'Homme
organise une distribution de prospectus le mardi 27 janvier de 14h30 à
15h30 dans la rue Plantagenêt près du centre commercial Fleur d'eau,
pour dénoncer la dangerosité des drogues psychiatriques !
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
samedi 17 janvier 2015
Meurtre fratricide : drogues psychiatriques en cause ?
Dans la nuit du samedi 3 au dimanche 4 janvier dans la ville de Passy un homme âgé de 44 ans, surveillant de l’Éducation nationale, a été arrêté après avoir assassiné son frère de 39 ans. Pris d'une soudaine bouffée de violence il serait entré dans sa chambre et lui aurait fracassé le crâne à coups d'haltère.
Le coupable qui a été mis en examen pour meurtre est connu pour son
comportement instable et avait déjà fait quelques séjours à l'hôpital
psychiatrique.
Voilà donc une personne de plus décédée à cause d'un ancien patient de
la psychiatrie et des traitements qu'il devait prendre. Combien d'autres
personnes allons-nous encore laisser se faire assassiner avant de réagir
et de réaliser que les « médicaments » psychiatriques sont dangereux ?
En effet, les psychotropes peuvent provoquer des effets secondaires tels
que : agitation, convulsions, troubles cardiaques, troubles
respiratoires, troubles sexuels, amnésie, coma, agressivité, nervosité,
anxiété, délires, psychoses, hallucinations, pensées et comportements
suicidaires, etc.
Certains laboratoires tel que Lilly par exemple ont déjà été condamnés
pour les méfaits des drogues psychiatriques qu'ils mettent sur le
marché. Mais en réalité, l'industrie pharmaceutique gagne tellement
d'argent (plusieurs milliards), sur ces « médicaments » qu'ils
continuent à sortir des traitements dévastateurs. C'est un marché très
lucratif donc rien ne les arrête.
De plus dans les hôpitaux psychiatriques français, il y a chaque année,
72 000 internements forcés (200 par jour) et 70 000 séances
d'électrochocs ou sismothérapie. Les traitements barbares existent
toujours et il y en a beaucoup !
Notre devoir est donc d'informer la population de ces abus et barbaries !
C'est pourquoi la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme
organise une distribution de prospectus le mardi 20 janvier de 14h30 à
15h30 dans la rue Lenepveu et sur la place du Ralliement à Angers, pour
dénoncer les abus de la psychiatrie et leurs traitements dévastateurs !
La CCDH a été créée en 1974 en France pour dénoncer les abus
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.fr
samedi 10 janvier 2015
Drogues psychiatriques : danger de mort !
Mardi dernier sur France 5 à 20h40, un reportage nommé « Morts sur ordonnance » a été diffusé. Dans ce reportage, les antidépresseurs, anxiolytiques, somnifères et autres tranquillisants sont remis en question.
De nombreux experts tel que le Professeur Philippe Even parlent de
« bombes à retardement ». Ces psychotropes seraient à l'origine de
vagues de suicides, de troubles du comportements graves, d'homicides et
certains seraient plus addictifs que les drogues dures. Plusieurs
victimes et familles de victimes des psychotropes témoignent dans ce
reportage des méfaits des drogues psychiatriques.
Les faits divers montrent effectivement qu'un grand nombre de crimes et
de suicides sont commis par des personnes sous l'emprise de drogues
psychiatriques.
Pourtant ces médicaments restent un best-seller planétaire et, en tant
que premier consommateur mondial, la France représente un véritable
tiroir-caisse. Effectivement, un français sur 3, soit 20 millions de
personnes, ont déjà pris un médicament psychotrope dans leur vie.
Des milliers de citoyens sont internés de manière abusive en
psychiatrie. De plus des traitements barbares sont pratiqués de force
dans les hôpitaux psychiatriques français : camisole de force,
contentions, chambre d'isolement, électrochocs, injections de
médicaments, etc.
Les français, pour beaucoup, sont convaincus aujourd'hui que de tels
barbaries ne sont plus au goût du jour dans les hôpitaux psychiatriques,
or cela existe encore et de manière très fréquente !
Nous devons donc agir pour que ces abus cessent. Les psychiatres et les
laboratoires pharmaceutiques doivent reconnaître leur tort et arrêter de
mettre sur le marché des médicaments psychiatriques qui détruisent la
vie des gens !
C'est pourquoi les membres de la Commission des Citoyens pour les
Droits de l'Homme de l'Homme organisent une distribution de prospectus
le mardi 13 janvier de 14h30 à 15h30 dans la rue Lenepveu et sur la
place du Ralliement à Angers, pour dénoncer les traitements barbares de
la psychiatrie !
La CCDH a été créé en 1974 en France pour dénoncer les abus
psychiatriques. Elle reçoit chaque semaine des témoignages de victimes
et de familles sur ces abus.
Pour plus d'informations, visitez le site internet de la CCDH www.ccdhbretagne.org,
ou contactez-nous par téléphone au 02 41 34 60 03 ou par mail à ccdhbretagne@free.f